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Noms de lieux * Anvioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

 

 

Bro hag Eskopti Kervev

Pays et Évêché de Cornouaille

  Le Leslay

Leslae

 

pajenn bet digoret an 19.11.2018 page ouverte le 19.11.2018     * forum du site Marikavel : Academia Celtica  dernière mise à jour 02/02/2025 15:17:06

Définition / Displegadur : Commune de la Bretagne historique, en Pays-évêché de Cornouaille.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne"; département des Côtes d'Armor; arrondissement de Saint-Brieuc; canton de Quintin; sur le Leff.

Code postal : 22800

Superficie :  501 ha.

Population :  284 hab. en 1881; 134 hab. en 1968; 118 hab. en 1982; 112 hab. en 1990; 113 hab. en 1999;

Armoiries; blason / Ardamezioù; skoed

 

Paroisse / Parrez : église sous le vocable de saint Symphorien.

Histoire / Istor :

* Ogée (1780) : Le Leslai; trève du Vieux-Bourg de Quintin à 21 lieues à l'E.N.E. de Quimper, son évêché; à 22 lieues de Rennes, et à 1 lieue de Quintin, sa subdélégation. Elle ressortit à Saint-Brieuc.

« Le château de Beaumanoir-Eder est situé dans ce territoire: il appartenait à l'illustre maison de ce nom.(Voy. la bataille des Trente, dans la Croix-Helléan.) —  Lettres du roi Charles V, du 10 septembre 1569, par lesquelles Sa Majesté déclare retenir à son service Jean, sire de Beaumanoir, capitaine de cent lances. Jean, IIè  du nom, chevalier, seigneur de Beaumanoir, épousa en premières noces Catherine de la Rochefoucauld, dame d'Antoigné, veuve de Jacques de Mathesclon, laquelle mourut sans postérité, et en secondes noces Hélène de la Ville-Blanche, fille de Pierre, seigneur de Broons, et de Jeanne du Perrier, de laquelle il eut un fils. Jean II mourut en 1508. Jacques de Beaumanoir, vicomte du Besso et de Médréac, fut échanson du roi François Ier, et gentilhomme ordinaire de la chambre du dauphin. Il épousa, le 18 juin 1538, Adelice de la Feuillée, fille cadette de François de la Feuillée, vicomte de Plouider, seigneur de Langarzeau et de Coëtmenech, et de Cvprienne de Rohan, son épouse. ››

Le 13 octobre 1590, le prince de Dombes, étant au camp devant Bécherel, donna ordre au capitaine du Liscouet de démolir le château de Beaumauoir-Eder, pour que les ennemis du roi ne pussent s'en emparer. En conséquence, les habitants des paroisses voisines furent employés à cette démolition. Le corps du château a été réparé, et a servi de logement aux seigneurs pendant un assez long temps.

Le maréchal d'Aumont mourut à Rennes, le 19 août 1595, et Jean de Beaumanoir, IIIème du nom, marquis de Lavardin, lui succéda, et fut créé maréchal de France. Il mourut en 1614. (Voy. Evran.)

* Marteville et Varin (1843) : LE LESLAY: commune formée de l'anc. trève du Vieux-Bourg,  aujourd'hui succursale. — Limi. : Boqueho, Cohiniac; E. le Foeil; S. le Vieux-Bourg; O. Saint-Gildazs. — Princip. vill. : Kerfouleu, Petit-Kermabo, Tré-an-Dault, le Vieux-Leslay, Keriolet, la Lande-Mazurié, la Ville-Colio, Kergomar, Rundault, Penpoulo, Grand-Kermabo. — Maison remarquable : château de Beaumanoir — Superf. tot. 501 hect. 46 a., dont les princip. div. sont : ter. lab. 297; prés et pât. 52; bois 24; verg. et jard. 4; landes et incultes 93; étangs 6; sup. des prop. bât. 3; cont. non imp. 21. Const. div. 64; moulins 2 (de Beaumanoir, à eau). La famille Eder-Beaumanoir est celle à laquelle appartenait le trop fameux Guy-Eder, dit la Fontenelle, mais non celle des Beaumanoir d'Evran. La famille Eder, qui était aussi fort ancienne, s'est éteinte dans le XVIIIè siècle. Tout l'alinéa que nous avons guillemeté (en italiques) n'est donc pas ici à  sa place, il concerne la maison de Beaumanoir d'Evran, éteinte ainsi que la précédente. Ogée semble avoir compris la confusion commise par lui, quand, à la fin de cet article, il a renvoyé lui-même à l'article Evran. — Géologie : terrain granitique.  — On parle le français et le breton.

* Édition Flohic : "Commune en 1790, le bourg n'acquiert le statut de Paroisse qu'en 1841, n'étant auparavant qu'un trève de la paroisse du Vieux-Bourg"

* Editions Delattre (2004) : Le Leslay devint commune en 1790, et paroisse indépendante en 1841.

 

 * Jean-Claude Even (1987) : 

"II n'y a pas besoin de se perdre en d'inutiles détours : il n'y a pas d'étang au sommet de la cime de Kerchouan. Le seul plan d'eau qui existe aujourd'hui au lieu-dit Toul-ar-Sparlo n'est dû qu'à la présence d'une ancienne carrière à ciel ouvert. Par ailleurs, les quelques aménagements des sources du Gouet et de l'Oust ne peuvent pas, en eux-mêmes, évoquer l'idée d'étangs.

   Le pays environnant comporte, certes, de nombreux étangs mais, comme dans le cas de ceux de Saint-Bihy, les plus proches de la Cime, il s'agit de retenues d'eau artificielles, alors que l'étang cité par Nennius est, selon toute évidence, un étang naturel. Malheureusement, il est difficile aujourd'hui de reconnaître les anciens étangs naturels de cette époque, soit parce qu'ils ont été aménagés en retenues artificielles, soit qu'avec l'érosion naturelle aussi bien que par des travaux agricoles, ils ont pu se trouver comblés et disparaître a tout jamais. Mais ceci ne doit pas constituer pour nous une dérobade et ne nous empêche pas de pousser plus avant nos investigations.

   Revenons au texte de Nennius. La forme utilisée est la suivante : "... a stagno quod est super verticem Montis Jovis...". Ce qui trouble, dans cette phrase, est donc l'association: "... est super verticem ...", que plusieurs auteurs on traduit par: "... qui est au sommet du Mont Jovis...", comme nous l'avons vu précédemment.

   Or, comme il est rare, sinon impossible, de trouver un étang sur le sommet d'une montagne, étant donné qu'il y a forcément toujours des reliefs qui sont plus hauts que le niveau de l'eau, tout au plus peut-on dire "auprès du sommet". Mais à lire ces auteurs, on se rend bien vite compte que cette recherche ne semble pas provoquer chez eux un grand sentiment d'enthousiasme. Du reste, Fleuriot lui-même cite le Grand Saint-Bernard, qui n'est pas un sommet, mais un col, ce qui implique forcément l'idée d'un passage plus bas que les sommets, même s'il est vrai que ce passage est lui-même plus élevé en altitude que ses voisins. En tout cas, même si ce col est élevé, il n'en constitue pas pour autant un sommet, au sens propre du mot.

   Comme nous l'avons déjà dit, il est indispensable de rechercher tous les sens de la formule latine super verticem. Ceux qui correspondent le mieux à l'objet de cette recherche sont les suivants: "au-delà de"; "plus loin que"; "au nord de"; "à la verticale de". A savoir que l'on peut alors traduire : "... l'étang qui se trouve / au-delà de / plus loin que / au nord de / à la verticale du / sommet du Mont Jovis ...".

   La vérité se trouve une fois de plus dans la topographie et dans la logique. Puisqu'il nous faut orienter nos recherches entre la Cime de Kerchouan et la Manche, c'est-à-dire vers le nord, faisons comme l'auraient fait des voyageurs de cette époque, suivons la route gallo-romaine de Kerchouan au Sépulcre. A Saint-Gildas, nous sommes à la source de nombreux ruisseaux affluents du Trieux, à l'ouest, et du Gouet, à l'est. Or, cette route passe aussi dans la commune du Leslay, c'est-à-dire à la source du Leff, affluent du Trieux.

   Il faut le souligner, nous sommes là sur un point historique et précis de l'histoire de Bretagne, tout simplement parce que le Leff a justement servi de délimitation entre les évêchés de Saint-Brieuc et Tréguier, pendant près de mille ans, sur tout son cours, et de limite entre la haute et la basse Bretagne, sur son cours supérieur, de sa source jusqu'à sa confluence avec le Dourmeur, à Kerymber, en Bringolo.

   Après recoupement d'une visite sur place avec les renseignements recueillis auprès du maire de Leslay et des propriétaires concernés, il apparaît que le Leff est alimenté par trois sources principales : celle de Beaumanoir, la plus orientale, celle de La Ville-Collio, au milieu, et celle de Penpoulo, la plus occidentale.

   L'étang de Beaumanoir, pour aussi superbe qu'il puisse être dans son cadre magnifique, est une retenue d'eau artificielle, avec chaussée et vanne et, par conséquent, sort de nos investigations. A La Ville-Collio, il n'y a pas d'étang. Par contre, à Penpoulo, il y a effectivement un étang naturel, plus proche d'ailleurs du marécage que du plan d'eau. Le nom du lieu-dit est lui-même un indice intéressant puisque, outre le fait qu'il soit breton, il signifie aussi "le bout des mares": breton penn "bout, extrémité, sommet"; poull "mare" (poulloù, "les mares"). Les mots correspondants dans les autres langues celtiques sont, en gallois : llyn (breton lenn, "lac"); pwll, "étang, mare"; en cornique: pol, lagen (breton : lagenn), stagen, "étang" (breton stank, stankenn) ; gaélique: loch, "lac" (breton: loc'h), lochan, "petit lac", linn, "lac". Comme on le voit, l'acceptation du mot poull n'est pas réservée d'une façon stricte au sens de "mare", mais peut s'appliquer à toute sorte de plans d'eau.

   Autre chose curieuse, l'extrémité de l'étang est marquée d'une croix et on prétend que le lieu aurait été habité autrefois par des moines.

   Quoi qu'il en soit, force nous est de reconnaître que le Leff, rivière limite, prend effectivement sa source dans un marécage. Il apparaît donc qu'il s'agit de moins en moins être le fait du hasard si Nennius a parlé d'un étang, puisque c'est effectivement de là que part la limite entre le Trégor et le Goëlo.

   Je pense donc sincèrement, même si l'aspect du site n'est peut-être pas obligatoirement celui qui était le sien à la fin du quatrième siècle, compte tenu qu'en mille six cents ans les modifications dues à des faits naturels aussi bien qu'à l'intervention humaine ont pu rendre la donnée incertaine, que l'étang cité par Nennius a toutes les chances d'être celui de Penpoulo, en la commune du Leslay".

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Ceci répond à la recherche de la triangulation de Nennius, concernant la délimitation d'un territoire attribué en propre à ses troupes britto-romaines par Maxime (383-388). Penpoulo, à la verticale nord de Kerchouan,  répond au Stagnum super Verticem Montis-Jovis, de Nennius.

La réponse est donnée par le schéma n° 1. Penpoulo (stagnum), est juste au-dessus à la verticale de Kerchouan (Mont-Jovis)

Patrimoine. Archéologie / Glad. Arkeologiezh

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Le bourg Ar bourg
Église saint  Symphorien (1896) Iliz sant Siforin
Croix de Rhundault (mérovingienne) Kroaz Rhundault (Run---- ?)
Croix de Kergomar Kroaz Kergomar
Château de Beaumanoir (XVè, XVIIè, XVIIIè, XIXè) Kastell Beaumanoir
   

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Église Saint-Symphorien

Google-Earth. Épurée par J.-C. Even. Ier février / Iñ C'hwevrer 2025

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Étymologie / Gerdarzh

* Jean-Yves Le Moing (1990) : le Leslay, 1496; le Leslé, 1543;

* Bernard Tanguy (1992) : " Le Leslay, 1496, 1535; gallo Le Lèlaí"

Commune depuis 1790, Le Leslay ne fut érigé en paroisse qu'en 1841.

Jusque-là tréviale, son église, comme celle voisine de Saint-Gildas, dépendait de la paroisse du Vieux-Bourg. Son centre primitif se trouvait au village du Vieui-Leslay, situé à 800 m au sud-est, sur les pentes d`une colline élevée, à laquelle fait peut-être allusion le lieu-dit Le Tertre du Vieux-Leslay.

Formé avec le vieux-breton lis, les “château, cour", le nom remonte au haut Moyen Age et fait référence à une résidence seigneuriale. Mais son second élément reste, faute de graphies assez anciennes, difficile à identifier. Plusieurs possibilités s'offrent, en effet : le breton laez, laë "haut", que le site ne dément pas, mais que les graphies anciennes ne confirment pas, le breton le “lieu”, que semblent authentifier les nombreux Leslé du Morbihan et confirmer les Lesléac'h, Leslec'h (formés avec le breton leah, leh “lieu”), ou encore le breton lae, qu'on rencontre en anthroponymie, employé seul, comme en 1267, Karadou, fille de Lae, à Plouha, ou comme second élément dans Flochlay. C'est sans doute quand fut construit au bas Moyen Age le château de Beaumanoir que se développa le nouveau bourg.

* Erwan Vallerie (1995) : Le Leslay, Leleslay, 1496; Le Leslay, 1535; Le Leslé ?, 1543.

* Éditions Flohic (1998) : de l'ancien breton les ou lis, château, et laë, haut

* Hervé Abalain (2000) : "de les et lerc'h : "château, cour" et "endroit, lieux"

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* J.-C. Even : il reste curieux que Bernard Tanguy n'ait pas fait référence au nom du Leff, qui a ses sources en cette commune.

Personnes connues Tud brudet
Guy Eder de la Fontenelle

Beaumanoir, 1574 / 

Fontanella / Guy Eder de la Fontenelle

Beaumanoir, 1574 / 

Armorial * Ardamezeg

 
Beaumanoir Bernard Eder  
Barons dudit lieu en Évran; seigneurs de Merdrignac, paroisse de ce nom; de la Hardouinais, en Saint-Launeuc; de Moncontour, paroisse de ce nom; vicomtes du Besso, en Saint-André-des-Eaux; barons de Pont-l'Abbé et de Rostrenen; seigneurs de la Motte, en Pleuguéneuc; du Bois de la Motte, en Trigavou; de Tréméreuc, paroisse de ce nom; du Quélennec, en le Vieux-Bourg de Quintin; de Boisbilly, en Plorec; de Langevinaye ?; marquis de Lavardin; vicomtes de Saint-Jean; barons de la Troussière et seigneurs de Malicorne, au Maine; seigneurs de Beaufort, en Vallée; de Landemont, en Anjou; comtes de Nègrepelisse, en Quercy.

"d'azur à onze billettes d'argent, 4, 3, 4"

"en glazur e unnek c'hanochenn en arc'hant, 4, 3, 4"

- Deux maréchaux de Bretagne : Robert de Beaumanoir, en 1342; Jean de Beaumanoir, en 1350

- un maréchal de France en 1595 : Jean de Beaumanoir de Lavardin, décédé en 1614

- des chevaliers du Saint-Esprit

- deux évêques du Mans, en 1601 et 1671

- un évêque de Rennes, abbé de Beaulieu, décédé en 1711;

(PPC)

Seigneurs de l'Isle-Aval, par. de Saint-Potan; barons de Beaumanoir, par. de Vieuxbourg (Le Leslay); de Bienly vient, par. de Planguénoual.

Réf. et montres de 1441 à 1535, par. de Planguénoual, év. de Saint-Brieuc.

"De sable au lion d'argent, surmonté d'une molette de même"

"En sabel e leon en arc'hant, leinet gant gant ur rodig-kentr ivez en arc'hant"

(PPC)

Seigneurs de Beaumanoir, en Leslay, baron de la Fontenelle, en Trégueux; de la Villedoré et de la Villeraoul, en Cesson; de Guerlignon, par. de Cohignac; de Kerrien, en Tréglamus; de la Haye et de la Mastinais, en Missillac; de l’Ongle et de la Motte-Isar, en Guenrouët.

 

"De gueules à la fasce d’argent, accompagnée de trois quintefeuilles de même"

 

"en gwad e dreustell en arc'hant, heuliet gant teir fempdiliaouenn ivez en arc'hant"

 

sceau / siell 1435

 

références et montres de 1535 à 1543

 

Devise / Sturienn

 

Libertas.

 

(PPC)

 

Vie associative Buhez dre ar gevredadoù
   

Communes du canton de Quintin Kumunioù kanton *Kintin
Le Foeil   * Ar Fouilh
Le Leslay   * Al Leslae
Plaine-Haute   * Plenaod
Quintin   Kintin
Saint-Bihy   * Sant-Bic'hi
Saint-Brandan   * Sant-Vedan
Saint-Gildas   * Sant-Weltaz
Le Vieux-Bourg   * Bourc'h-Kintin

Communes limitrophes du Leslay 

Parrezioù tro war dro Lezlae

Saint-Gildas Boqueho Cohiniac Le Foeil Le Vieux-Bourg

Sources; Bibliographie / Eien; Levrlennadur :

* OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; 

* A. MARTEVILLE et P. VARIN, vérificateurs et correcteurs d'Ogée. 1843.

* Dictionnaire MEYRAT : Dictionnaire national des communes de France. (année 1968). Editions Albin-Michel Paris. 1970

* Jean-Claude EVEN : Kavell ar Vro; Le Berceau de la Bretagne armoricaine. Lannion. 1987.

* Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop Breizh. 1990

* Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. ArMen - Le Chasse-Marée, 1992

* Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus * Traité de toponymie historique de la Bretagne. An Here. 1995

* Éditions FLOHIC : Le Patrimoine des communes des Côtes-d'Armor. 1998

* Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Les universels Gisserot. 2000

* Daniel DELATTRE : Les Côtes-d'Armor; les 372 communes. Éditions Delattre. 2004

* AL LIAMM : Nouveau Dictionnaire Breton / Français; Français / Breton. 2014

Liens électroniques des sites Internet traitant du Leslay / Leslae

* lien communal : (par défaut) : Mairie Le Leslay (22800-Bretagne), adresse, horaires et élus

* Wikipedia brezhonek :  https://br.wikipedia.org/wiki/Al_Leslae

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés pat J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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