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Noms de lieux * Anoioù lec'hioù

Noms de personnes * Anaoioù tud

Breizh

Bretagne

Bro-Leon

(Pays de) Léon

  Gouenou * Gouesnou   

pajenn bet digoret an 30.12.2009 page ouverte le 30.12.2009     * forum du site Marikavel : Academia Celtica  dernière mise à jour 08/06/2021 21:39:36

Définition : commune de la Bretagne historique, en Pays de Léon / Bro-Leon. Évêché de Saint-Pol-de-Léon / Kastell-Paol; sur la Penfeld.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne", département du Finistère; arrondissement de Brest, et 2ème canton de Brest.

Superficie : 1208 ha.

Population : 900 'communiants' vers 1780; 1478 hab. en 1878; 1394 hab. en 1906; 2543 hab. en 1968; 4061 hab. en 1982; 6448 (?) hab. en 1996; 6042 (?) hab. en 1999; 

Armoiries; blason

* Froger et Pressensé : "de gueules à la fasce d'or accompagnée en chef et en pointe de trois tourteaux du même".

* Daniel Delattre (2004) : "parti, d'azur à trois fleurs de lis d'or et d'hermine". ???

Paroisse : l'église est sous le vocable de 

Histoire

* Ogée (1780) : Gouesnou; dans une plaine, sur la route de Brest à Lesneven; à 9 lieues 1/2 au S.-O. de Saint-Pol-de-Léon, son évêché [aujourd'hui Quimper]; à 45 lieues 1/6 de Rennes, et à 1 lieue 2/3 de Brest, sa subdélégation et son ressort. Il s'y exerce deux hautes-justices, y compris celle des régaires de Léon, quatre moyennes et trois basses. On y compte 900 communiants. La cure est présentée par l'évêque. — On prétend que cette paroisse fut fondée par saint Gouesnou, neuvième évêque de Sainl-Pol-de-Léon, et qu'elle fut donnée à l'abbaye de Saint-Georges de Rennes par la duchesse Berthe de Champagne, veuve du duc Alain, surnommé Barbe-Torte, qui mourut à Nantes l'an 952. Saint Gouesnou était Breton : c'est le patron de cette paroisse. Autrefois on portait ses reliques en procession le jour de l'Ascension. L'an 1342, Charles de Blois les porta; en 1417, le duc Jean V; en 1455, le duc Pierre. Il fit la même cérémonie avec le connétable Artur, son oncle. Ces reliques étaient portées en procession sur un brancard, par deux gentilshommes revêtus de surplis. — Kergroas est la seule maison noble que l'on connaisse dans ce territoire, qui est coupé de plusieurs ruisseaux dans les vallons. On y voit des terres labourées très-fertiles, d'excellents pâturages et beaucoup de terres incultes.

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* J.-F. Brousmiche (1829, 1830 et 1831) : "A une distance peu éloignée de Lambézellec, on trouve Gouesnou. Gouesnou est un gros bourg bien bâti, dont la place est traversée par la route départementale qui conduit de Brest à St. Pol de Léon, et où s'embranchent les chemins qui mènent au Conquet et à tous les points de la côte Nord-ouest du département.

Dans ce bourg s'exerçait avant 1789, la justice des regaires de St. Pol de Léon ; il n'est pas même aujourd'hui chef-lieu de canton.

Des marchés hebdomadaires s'y tenaient; deux foires avaient lieu chaque année. Les marchés sont tout-à-fait abandonnés; mais les foires ont conservé leur ancienne réputation. Il n'est pas rare d'y voir trois à quatre mille chevaux exposés en vente. Les plus beaux proviennent des côtes du Léonais, en particulier de Plounéour-Trez, Kerlouan, Guissény; Plouguerneau, Trébabu, Le Conquet et Plougonvelin y envoient de très beaux produits.

Il se fait quelquefois des affaires considérables aux foires de Gouesnou que fréquentent les Normands et les Mançeaux éleveurs de chevaux.

L'église paroissiale, dédiée à Saint-Gouesnou, est très remarquable; c'est une construction du seizième siècle qui est élégante et gracieuse ; le clocher et l'abside sont d'un travail achevé. Le portail est plus récent; il appartient au dix-septième siècle ; c'est une œuvre de mérite qui atteste un ciseau exercé et un goût pur.

L'église est bâtie, dit-on, sur l'emplacement du monastère qu'édifia Saint Gouesnou. Pauvre, il alla un jour demander un asile à un riche seigneur qui le lui refusa. Saint Gouesnou se retira alors dans une prairie voisine du village de Keraudren, et là, sur deux blocs de rocher, il établit son lit et son domicile. Tous les ans, au jour où l'on célèbre sa fête, les villageois vont processionnellement s'étendre sur la couche de Saint-Gouesnou, et s'y frotter les membres ; cette bienfaisante friction les guérit avec certitude des douleurs rhumatismales.

Le ciel, outré que son serviteur eut été mal accueilli par le puissant, abaissa sa superbe; tous les maux vinrent fondre sur lui, il fut frappé du mauvais vent, an avel fald. Se repentant de sa faute, le malheureux, que la vengeance de Dieu assiégeait, vint, contrit, s'humilier aux pieds de St. Gouesnou qui lui pardonna et fit fondre sur lui toutes sortes de bénédictions. Reconnaissant, il octroya au saint autant de terre qu'il pourrait en enclore en un jour. Malin comme un démon, Saint Gouesnou enfourche son bâton, marche, marche, et à mesure qu'il avance, la terre se dresse et forme la clôture qui est encore aujourd'hui la limite de la paroisse.

Saint Gouesnou construit ensuite son monastère, prêche et catéchise. Il secourt les malades, soigne les infirmes, pratique toutes les vertus : le bruit de sa sainteté s'étend, et bientôt l'église de Saint Pol lui défère l'anneau et le bâton pastoral. Savant architecte, un collègue jaloux de sa science, lui laisse tomber son marteau sur la tête dans l'église de Sainte-Croix de Quimperlé. St Gouesnou meurt sur le coup, il est ravi à ses ouailles qui le pleurent et qui demeurent inconsolables de sa perte. Il fut inhumé à Quimperlé; ses ossements furent cependant rendus à son frère qui les réclama. Mais il fallut bien des prières, bien des supplications avant qu'il parvint à les obtenir des moines qui s'obstinaient à les conserver.

Près de son couvent il avait fait jaillir une source. C'est aujourd'hui une fontaine sacrée, dont les eaux, prises intérieurement ou appliquées à l'extérieur guérissent toutes les maladies cutanées. Aussi y a-t-il foule à la chapelle de St. Gouesnou, au jour commémoratif de sa fête.

On conserve dans une petite chapelle, à l'entrée du bourg, une pierre percée, dans le trou de laquelle on affirme que St. Gouesnou laissait son bras trois heures par jour par esprit de pénitence.

Les rêveries mystiques, les superstitions religieuses sont nombreuses, tiennent presque au sol dans la Basse-Bretagne. Il n'est pas de lieu dans ce rustique pays qui ne renferme de vieilles traditions extraordinaires, qui n'ait été le témoin de miracles authentiques et prouvés. La crédulité du paysan breton est incroyable, et si elle n'était chaque jour attestée par les faits, on voudrait la mettre en doute. Il est une foule d'absurdités qui sont des articles de foi pour nos bons campagnards ; en rechercher les origines serait un travail digne de l'observateur attentif. Mais, pour remonter aux causes, il faudrait fouiller dans la nuit des temps, dans les archives des monastères et des châteaux ; malheureusement les uns et les autres sont anéantis. Une foule de documents, chartes précieuses, ont disparu, c'est à peine s'il en reste des traces : les monastères, les vieux donjons sont en ruines. Quelques amas de pierres, voilà ce qui reste pour l'histoire morale de la Bretagne. Nos aïeux ne se sont pas plus piqués que nos Bretons de nos jours de rien écrire sur un pays qui, par son importance, méritait de trouver toujours des chroniqueurs.

Comme il n'entre pas dans le plan que je me suis tracé de raconter l'histoire du pays, mais seulement de décrire les diverses portions que je me propose de parcourir, j'abandonne toute digression pour rentrer dans mon sujet.

La commune de Gouesnou, peu étendue, possède quelques portions fertiles; ses prairies produisent du foin assez estimé. On prétend qu'elle fut jadis couverte de bois ; on n'en voit plus que sur les terres du Bois et du Four-neuf, charmantes demeures que, chaque jour, leurs propriétaires embellissent. Il est une foule de maisons de campagne dans Gouesnou, et le nombre en augmente tous les ans.

Non loin du Four-neuf est le vieux manoir de Mesléan dont les ruines jonchent la terre. Cette maison est du 15è siècle; elle présente encore, à l'entrée, ses deux tours avec galeries, crénaux et mâchicoulis. C'est tout ce qui reste d'entier de cette ancienne maison.

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* Marteille et Varin (1843) : GOUESNOU (sous l'invocation de saint Gouesnou ou Goueznou ), commune formée de l'anc. par. de ce nom, aujourd'hui succursale; chef-lieu de perception. — Limit. : N. Plabennec;E. Guipavas; S. et O. Lambezellec. — Princip. vill. : le Crann, Kervolgen, Keralleunoc, Penhoat, Fourneuf, Kergaradec. — Superf. tôt. 1016 hect., dont les princip. div. sont : ter. lab. 713; prés et pat. 131; bois 19; verg. et jard. 5; canaux et étangs 2, landes et incultes 87; sup. des prop. bat. 13; cont. non imp. 106. Const. div. 235; moulins 5 (Neuf, du Bois, Kergroas, Vieux). >>> Le bourg de Gouesnou est situé sur une colline, et dans une jolie position. L'église est du style du XIV siècle. Les gargouilles extérieures, représentant des dragons, sont en granite de Kersanton, qu'à sa couleur noirâtre et à la pureté des sculptures on prendrait pour de la fonte. A l'entrée du cimetière est une croix d'un style élégant; dans l'intérieur de l'église on remarque plusieurs bonnes sculptures eu bois. On montre encore à Gouesnou la pierre sur laquelle le saint se coucha quand, selon la tradition, on lui refusa un asyle. Le jour du pardon, les pèlerins viennent s'y étendre et s'y frotter pour guérir de leurs douleurs. Près de l'église est une fontaine dont l'eau prétendent les habitants, quand on y plonge un membre affecté d'une maladie cutanée, procure à l'instant même la guérison. A peu de distance du bourg existe une petite chapelle dans laquelle on voit une pierre presque ronde et ayant environ cinq mètres de circonférence. Les uns la regardent comme un monument du culte druidique, les autres comme provenant de saint Gouesnou, qui aurait fait pénitence, en s'imposant d'y laisser chaque jour son bras, immobile, pendant plusieurs heures. Elle était encore il y a quelques années dans un champ près de Kerangallet, et les pèlerins venaient y placer leurs membres atteints de maladies, pour en obtenir la guérison. Un des curés l'a fait renfermer dans la petite chapelle où elle est maintenant, afin de la soustraire à ces pratiques superstitieuses.— En 1785, le curé était seul décimateur, et la dîme lui rapportait 900 livres.— Le pardon de Gouesnou est très-fréquente; il s'y tient une espèce de foire, où de nombreuses acquisitions sont faites par les paysans. — L'agriculture n'est pas en grand progrès dans cette commune; cependant on y emploie les prairies artificielles et surtout les plantes sarclées, telles que les carottes, les panais et les navets. Le goémon, quoique cher, est généralement employé; on va le chercher à Tarriec, en la commune de Lannilis. Le marle, que l'on emploie comme amendement, se tire de la grève du Moulin-Blanc en Saint-Marc, sur la rade de Brest; ou le paie sur place 9 fr. les cinq charretées. Malgré cela les défrichements ont presque subitement cessé depuis quelques années. — Jadis Gouesnou était le siège du plus beau marché de l'arrondissement de Brest. Lorsque le nouveau système décimal fut mis en vigueur, le maire voulut exiger rigoureusement son usage, et les paysans désertèrent le marché de Gouesnou : déplorable résultat d'une bonne mesure. — II se fait des élèves de chevaux, mais plusieurs causes qui seraient trop longues à énumérer ici s'opposent au développement des races. — II y a en Gouesnou une petite tannerie. — Les routes départementales n° 2 du Finistère, dite de Lannion à Brest par Saint-Pol, et 5, dite du Conquct à Gouesnou, traversent cette localité. — II y a foires la veille de l'Ascension, et le 25 octobre, jour de la fête patronale, ainsi que nous le disons ci-dessus. — Géologie : constitution granitique. — On parle plus généralement le breton que le français.

>>> Dans les anciens titres, Gouesnou est nommé Llan-Gouesnou. De B.

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* Daniel Delattre (2004) : "Gouesnou faisait partie de Guipavas et dépendait de l'ancien évêché de Léon".

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Patrimoine. Archéologie

seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs

Le bourg Ar bourg
Eglise saint Gouesnou (XVIè, XVIIè). Arc de triomphe et fontaine Iliz sant Gouenou
Chapelle saint Pierre Chapel sant Per
Chapelle Notre-Dame de Bon Voyage Chapel Itron-Varia ar Veaj Mat
Chapelle Notre-Dame de Lorette (reconstruite 1944) Chapelle Itron-Varia Loretta
Château de Mesléan Kastell Mezlean
Manoir du Bois (XVIIIè; restauré 1928) Maner ar C'hoad

Étymologie

* Bernard Tanguy (1990) : "Landa, peniticium Goeznovei, 1019; Sanctus Goeznovei, 1282; Bastille de Seint Gueznou, bastide de Saint Gouezenou, 1378; Langoeznou, 1420, 1467, 1516; Sainct Goueznou, 1544; Lannoznou, 1551; Lanosnou, 1591; Sainct Gouesnou, 1607; Gouesnou, 1665; breton Gouenou.

Cette paroisse, qui s'est, en 1950, agrandie vers le nord de cinq villages de Plabennec, en était jusque-là séparée par une ancienne voie. Faisant originellement partie de la paroisse bretonne primitive de Guipavas (cf. ce nom), elle remonte à un établissement monastique, en vieux-breton lann, fondé au VIè siècle, par saint Goueznou. Le nom originel Langoueznou a été remplacé en français par Saint-Goueznou, puis par Goueznou. Éponyme et saint patron de la paroisse, celui-ci est désigné par la Vie de saint Paul-Aurélien, écrite en 884, comme un de ses disciples. Selon ce texte, il est appelé Woednovius (d'un vieux-breton uuoet "cri" et gnou "connu") et, autrement, Towoedocus (hypocoristique formé sur le terme uuoet avec un préfixe to- "ton" et un suffixe -oc). C'est cette forme qui explique Saint-Ouec ( = Saint-Touec, pour Saint-Touézec) et Landouézec, à Plounez (C.-d'Ar.). Gouézec en est une variante sans le préfixe".

* Editions Flohic (1998) : 

* Hervé Abalain (2000) : 

* Daniel Delattre (2004) : "Sanctu Goeznovei au XIIIè; Sainct Goueznou au XVIè; Gouesnou dès 1665".

Personnes connues Tud brudet
Amiral Romain DESFOSSES

Gouesnou, 1798 / Paris, 1864.

Aide de camp du prince de Joinville, participe aux prises d'Ulloa et de Veracruz (1838-39). Commandant de la station de Madagascar en 1844. Ministre de la Marine de 1849 à 1851 

(cf. D. Delattre)

 

Liste des otages assassinés par les Allemands le 7 août 1944, à la ferme Le Phelep, à Penguérec

Marie-Jeanne Kerboul, 16 ans

Marie-Jeanne Luslac, 43 ans

Jean-Marie Guéguen, 47 ans

Edouard Guillemin, 29 ans

Noël Pont, 20 ans

Sébastien Le Ven, (fils), 23 ans

Jean Sanquer, 36 ans

Eugène Pelleau, 53 ans

André Salaun, 40 ans

Louis Coutet, 54 ans

Jean-René Jaouen, 20 ans

Yves-Marie Le Guen, 40 ans

Louis Collin, 23 ans

Pierre Gourmelon, 30 ans

Paul Tréguer, 17 ans

Georges Tanguy, 39 ans

Christophe Gouez, 47 ans

Jean-Marie Cozian, 66 ans

Hervé Léost, 32 ans

René Ségalen, 19 ans

François Troadec, 53 ans

Jacques Le Goasduff, 57 ans

Etienne Bodénès, 53 ans

Yves Le Guen, 29 ans

Jean Péron, 46 ans

Thomas Pouchin, 57 ans

Pierre Déniel, 26 ans

Jean-Pierre Mazéas, 38 ans

Jean-Marie Habasque, 39 ans

Neuf inconnus évacuant Brest complètent la liste des fusillés.

Armorial * Ardamezeg

         
      Pappe    
      seigneur du Vieux-Bourg, en Gouesnou; de Lezuzan, en Dirinon; de Coëtmesper, en Irvillac; de Kerminihy, en Elliant; de Kermorvan, de Lescoat, en Lanarvilly

"d'argent à la rose de gueules, boutonnée d'or"

"en arc'hant e rozenn en gwad, nozelek en aour"

1636, 1694

devise / ger-ardamez :

"Point gêhené, point gêhenant"

débouté en 1703

(PPC)

   

Vie associative Buhez dre ar gevredadoù
   

Communes du canton de Brest Parrezioù kanton Brest
Bohars Boc'harz
Brest Brest
Gouesnou Gouenou
Guilers Gwiler
Plouzané Plouzane

Communes limitrophes de Gouesnou Parrezioù tro war dro Gouenou
Bohars Bourg-Blanc Plabennec Guipavas

Sources :

* OGEE : Dictionnaire de Bretagne; 1780. 

* Jacques CAMBRY : Voyage dans le Finistère. 1799. avec corrections du Chevalier de Fréminville, 1836.

* J.-F. BROUSMICHE : Voyage dans le Finistère, en 1829, 1830 et 1831. Editions Morvran. 1977.

* A. MARTEVILLE et P. VARIN : continuateurs et correcteurs d'Ogée; 1843.

* Adolphe JOANNE : Département du Finistère. Hachette. 1878.

* René COUFFON et Alfred LE BARS : Répertoire des églises et chapelles du Diocèse de Quimper et de Léon; Presses Bretonnes, Saint-Brieuc, 1959; nouvelle édition par le Conseil général du Finistère. 1988.

* Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970.

* Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses du Finistère. Chasse-Marée - ArMen. 1990.

* Editions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Finistère. 1998.

* Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000. 

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes du Finistère. Froger S.A. 2001.

* Daniel DELATTRE : Le Finistère. Les 283 communes. Editions Delattre. 2004.

Liens électroniques des sites Internet traitant de Gouesnou / Gouenou  :

* lien communal : 

* forum du site Marikavel : Academia Celtica 

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* pour le blason de Gouesnou : dessin JC Even sur logiciel Genhéral5. 

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout vas vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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